dimanche 27 juin 2010

De retour dans les montagnes

Elles me manquaient. Bien que je les ai bien vu entre Milford Sound, Queenstown et les glaciers, elle me manquaient vraiment. Il faut avouer que vivre pendant près de 20 ans, presque tous les jours, entouré par elles, c'est dur de ne plus en voir. Et puis il me fallait de la neige ! Ok, vous en avez bien souffert en France cet hiver, mais j'ai perdu quelques semaine de neige en étant ici en été !

Cette aventure mènera au Mt Cook Village, qui se trouve au pied du Aoraki/Mt Cook, le plus haut mont de NZ. Bon, autant ne pas vous le cacher, la vraie surprise sera dans un autre article, bien qu'il y ait quelque chose qui puisse paraître étonnant pour un pays comme la Nouvelle-Zélande. Pour l'atteindre de Christchruch, le chemin est long. En effet, il faut presque redescendre jusqu'à Timaru, pour partir ensuite dans les montagnes. En fait, cela vient principalement d'une rivière à mi-chemin.


En fait, ce fleuve fait plus d'1,5 km là où se trouve le pont. Et si ce pont est fermé, il faut remonter d'environ 40 km dans les terres pour trouver un autre pont (celui que vous voyez est pour le chemin de fer). Et si je sais cela, ce n'est pas parce que j'ai intensivement regardé les cartes, c'est parce que ça s'est passé au retour... Néanmoins, en plus d'être très large et donc de permettre à ce pont d'être le plus long de NZ, de nombreux saumons le parcourent, ce qui fait de ce lieu l'endroit privilégié pour pêcher du saumon naturel. D'ailleurs, le saumon en NZ n'est pas une denrée trop chère.

Plus nous avançons dans les terres, plus le décor fait obligatoirement penser à nos Alpes. Pas étonnant que les montagnes de l'île du Sud aient été nommées Alpes méridionales ! Car sur la côte ouest (glaciers), la flore est bien plus néo-zélandaise. Et plus nous avançons, plus nous montons. D'ailleurs, il ne faut pas très très longtemps pour apercevoir les premiers effets de l'altitude en cette période quasi-hivernale :

Et oui, de la neige ! Et plus on monte, plus il y a de la neige (élémentaire, mon cher Watson !). Rémy, je te conseille de ne pas trop regarder cet article car après plusieurs mois d'hiver suédois, tu dois encore être un peu traumatisé par la neige !


Et au milieu de ces champs de neige, nous arrivons à notre principale étape : le lac Tekapo. La zone a été habitée relativement tôt car il y a suffisamment de plaines pour élever des moutons. Le climat y est rude en hiver, mais en été le temps est particulièrement clément dans ces alpages. D'ailleurs une partie des bergers pratiquent encore la transhumance. Et qui est le meilleur ami du berger, en plus des étoiles ?


Le chien ! Au bord du lac, trône cette statue qui remercie le meilleur ami de l'homme. La deuxième attraction vient de l'église du bon berger (d'ailleurs cela fait un bon jeu de mot avec la religion je trouve), qui se trouve elle aussi au bord du lac.

Et voilà ce fameux lac :

Mais repartons encore plus profondément dans les terres.

A partir d'un moment, la route devient une voie sans issue...longue d'un cinquantaine de kilomètres ! En effet, il n'existe qu'une route pour atteindre le Mt Cook Village. Et au fur et à mesure que l'on s'en approche, les vallées ne font plus qu'une qui finit par se rétrécir à proximité du village.

Notez la végétation des plaines. Il s'agit d'arbustes bas, mais qui résistent assez bien au froid. Les arbres sont plutôt sur les flancs de montagne. En effet, le village est à environ 900m d'altitude, donc assez bas pour voir de la végétation. Le village est très très tranquille puisqu'habité en grande partie par les personnels de l'hôtel et de quelques établissements. Histoire intéressante, l'hôtel a été un peu un enfer pour ses propriétaires successifs, qui ont du le reconstruire 2 fois : le premier a fait faillite, mais après avoir été endommagé par une inondation et agrandi par le second propriétaire, il a été détruit par une seconde inondation (qui avait emporté une partie du sol sous l'hôtel en bois), le deuxième hôtel a brulé, mais le troisième va bien maintenant. Le village est très tranquille, il y a très peu de bruits dans la journée (une voiture par-ci par-là, quelques personnes qui font de la luge etc.). L'intérêt de ce village vient en fait du fait qu'il soit la porte pour accéder aux plus hautes montagnes de la NZ.

Si vous regardez bien la photo au-dessus, la neige recouvre une zone très bleutée (alors qu'autour la neige recouvre des zones noirâtres) : il s'agit d'un glacier. Il y en a plusieurs dans la zone, eux aussi accessible depuis le village (à plusieurs heures de marche pour la plupart). Mais le village tire son nom du mont ultime de NZ : le Mt Cook. Son nom Aoraki vient du nom d'un mythe maori. La NZ est en fait un poisson péché par des êtres qui se trouvaient sur un canoë : l'île du Nord est l'hameçon (ou le poisson), l'île du Sud la barque. Le bateau fût pris dans une tempête terrible et chavira. Les êtres sur le bateau montèrent alors sur le bateau renversé, et attendirent. Le froid les gela et le bateau et les êtres se transformèrent en île. Et les êtres, sur leur barque devenue île, se transformèrent en montagnes. Leur chef est Aoraki.

Donc bien entendu, le village se veut l'endroit d'où commencer la montée. D'ailleurs, c'est ici qu'un certain néo-zélandais s'est entraîné pour gravir une autre montagne :


Sa statue regarde fixement le mont. Il s'agit bien entendu de Sir Edmund Hillary qui, avec son sherpa Tensing Norgay, ont été les premiers à gravir le Mont Everest. D'ailleurs, un musée lui est en partie consacré à l'intérieur de l'hôtel. Le musée montre aussi la guerre qui eut lieu entre les alpinistes néo-zélandais (de la première génération à être née en NZ et non en Grande Bretagne) et anglais pour le gravir en premier. Et finalement, le Royaume-Uni dut s'incliner face à sa jeune colonie !

Sur le retour, à part le "petit" détour qui nous a fait perdre une bonne heure, la route n'avait rien de bien nouveau, le chemin étant le même. Mais néanmoins, le crépuscule a ajouté un côté magique à ce décor enneigé.


vendredi 25 juin 2010

En avant pour l'église du christ

Rassurez-vous, je n'ai pas retourné ma veste d'athée convaincu (je n'ai pas changé de sexe, le mot athée s'écrit comme ça au masculin et au féminin). J'ai simplement fait un tour à Christchurch.


Pour ceux qui ont de la mémoire, j'ai déjà cité cette ville quelque part. Cela fait un moment, donc pas d'inquiétude si vous avez complètement oublié : Christchurch est la plus grande ville de l'île du Sud. Je l'ai contourné en allant à Akaroa.

Christchurch est reconnue pour trois choses : les expéditions néo-zélandaises, américaines et italiennes pour l'Antarctique partent de la ville (j'y reviendrai plus tard), la fusion entre architecture ancienne (relativement à l'âge du pays) et moderne, et ses jardins. En effet, la ville est surnommée "la ville-jardin" (et elle est décrite comme étant "plus anglaise que les villes anglaises" !). Et à vrai dire, le temps et l'architecture me l'ont prouvé : les bâtiments historiques sont de style néogothique et il a plu pratiquement tout le temps (sauf le jour de mon arrivée et celui de mon départ).

La ville fut créée en 1850 par M. Godley. Au départ, la colonie devait accueillir des familles triées sur le volet, pour leur ferveur religieuse. Mais ce n'est pas de là que vient le nom de la ville. Le fondateur venait d'Oxford, et a fait ses études au Christ Church College... D'ailleurs, c'est du nom de sa cathédrale que vient le nom de la cathédrale anglicane de Christchurch. Et devinez comment elle s'appelle ?


Christ Church tout simplement ! La cathédrale se visite, et on peut monter sur la tour, au niveau des terrasses (juste au commencement du toit octogonal). Mais c'est déjà haut : 134 marches.


En fait, il y a une subtilité : les plus ou moins cent premières marches sont sur un escalier en colimaçon hyper étroit, et les marches restantes sont sur un escalier ressemblant étrangement à une échelle, en plus large. La vue donne sur Cathedral Square (le parvis de la cathédrale) et sur les rues alentours.

Bon, redescendons un peu de là pour aller sur Cathedral Square.


Pour faire le tour des points importants du centre-ville, outre la marche à pied, meilleur ami du voyageur, il existe une ligne de tram. Bon, ok, le tramway date légèrement de la début du XXème siècle.


Heureusement, il avance sans trop d'effort, donc pas de quoi avoir peur. Surtout que Christchurch est plate, donc ce tramway n'essaie pas d'imiter son homologue de San Francisco. Un peu plus haut, je vous avez parlé de bâtiments néogothiques. Et bien sur le chemin du tram, impossible de passer à côté. Voilà l'Arts Centre, qui était l'Université du Canterbury (la province dont Christchurch est la capitale) jusque dans les années 70.


Malgré l'aspect extérieur, l'Arts Centre rassemble de nombreuses formes d'art (cinéma, théâtre, peinture, sculpture) relativement modernes. D'ailleurs la ville possède deux musées d'arts, dont un contemporain et l'autre...en fait, les oeuvres y sont également très contemporaines, donc il faudrait techniquement le classer dans la même catégorie ! Mais j'y reviendrais... L'Arts Centre comprend aussi de nombreux magasins, principalement tenus par des artistes (il y a également une chocolaterie), mais également un observatoire et un musée. Les deux sont liés à l'ancienne fonction des bâtiments puisque le musée est consacrée à un ancien étudiant de l'Université.

Rassurez-vous, il est quand même connu au-delà de la Nouvelle-Zélande. D'ailleurs, il est très probablement le seul kiwi à avoir reçu un prix Nobel ! A tel point que son visage est sur tous les billets de 100$NZ (le plus gros billet de NZ). Mais de qui s'agit-il ? Indice, j'en ai déjà parlé dans un ancien article...

Trêve de suspense, il s'agit d'Ernest Rutherford. Le musée se tient autour et dans un amphi où il a donné quelques cours. L'occasion de redécouvrir ce qui lui a valu le prix Nobel de chimie, malgré ses recherches en tant que physicien (petit moment de nostalgie pour tous ceux qui comme moi ont pu manipuler une source radioactive en terminale !). Mais revenons à nos moutons.

A côté de l'Arts Centre, se trouvent deux points intéressants de la ville : le musée du Canterbury et le jardin botanique.

L'eau à l'extérieur du bassin n'est pas due à la fontaine, mais à la pluie... Et encore, ce jour-là, il ne faisait qu'un crachin breton. Le lendemain, c'était une belle tempête. Donc pour cause de pluie, je n'ai pas pu visiter les jardins (enfin, juste le début, avant qu'il ne pleuve). Heureusement, il y avait le musée.

Encore et toujours dans le même style architectural. Le musée a été créé dans les années 1870 par Julius von Haast, qui est resté dans la postérité comme le découvreur de quelques glaciers de NZ et de l'aigle géant qui a disparu plus ou moins en même temps que le moa, et parce que son nom a été donné à un fleuve et à un village (j'y suis rapidement passé lors de mon trajet vers les glaciers). Le musée comporte comme d'habitude des éléments historiques de la région, mais aussi de nombreux objets provenant de missions pour l'Antarctique. Mais l'une des excentricités de ce musée est la reconstitution d'une maison de Bluff qui a été décorée pendant près de 30 ans par le vieux couple qui l'habitait. Cette maison fait très fortement penser à une version kiwi et intérieure du Palais idéal du facteur Cheval :

Chaque coquille de paua a été polie par le mari, et ils les ont installé sur les murs. Avec d'autres décorations faites d'objets typiques de NZ. Leur maison était considérée comme l'un des temples du kiwiana (pour faire simple : tout ce qui est typiquement néo-zélandais).

Mais continuons le tour du centre-ville. Juste à côté du musée, le Christ's College, qui date, comme les autres bâtiments du même type, des années 1850 :

Et maintenant, le centre névralgique de la ville, l'Avon, la rivière qui traverse la ville. Cette rivière est étroite et peu profonde. Il est possible d'en parcourir une partie sur des gondoles, façon Venise. Même si ici, impossible de faire des détours, il n'y a qu'un parcours...


Cette photo de ce bâtiment, sur la rive de l'Avon et sur le trajet du tram, est gratuite. Un des ponts traversant la rivière a été construit pour commémorer les soldats de l'ANZAC qui ont combattu lors des différentes guerres. Et oui, les kiwis ont été autant traumatisés que les européens par les guerres mondiales.


Reprenons la visite sur une touche plus gaie, malgré la pluie persistante. Comme je l'ai expliqué plus haut, Christchurch est la capitale du Canterbury, donc pas étonnant de voir les bâtiments du conseil provincial.


Pas besoin de vous expliquer à quelle époque ils ont été construit... je vous avais promis (ou pas) de l'art contemporain/moderne, et donc voici le musée d'art :

Alors je dois l'avouer, la visite du musée a été plutôt due au temps absolument pourrie qu'à mon amour des arts des trois derniers quarts du XXème siècle (à part le cinéma et la photographie...et encore !). Et comme dire...voir des photos relativement étranges, des œuvres d'un artiste probablement amoureux des sciences (oxydation et électricité) mais très très barjot ! Voilà un exemple d'une de ces oeuvres :


Petite explication sur ce qu'elle fait : les bras tournent grâce à un moteur, et des balais de ferraille chargés font des arcs électriques lorsqu'ils touchent les plaques de métal à gauche sur le mur... Je sais que je suis assez imperméable à ce genre d'art, mais là je cherche vraiment pourquoi avoir fait ça. Encore un scientifique dont le cerveau a disjoncté après sa découverte de la physique quantique peut-être !

Voilà la fin de cette visite du centre-ville. Et faisons un petit saut temporel, de 2 jours.

Swiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiz !

Nous voilà le jour de mon départ de Christchurch (les évènements passés sous silence lors de cet article seront divulgués dans un prochain article). A deux pas de l'aéroport, se trouve (encore) un centre sur l'Antarctique.


Assez drôle, puisqu'en plus des nombreuses informations sur le continent, il y a deux autres attractions : un tour en véhicule à chenille utilisé en Antarctique pour transporter du personnel (en gros, comment faire balader des gens sur une version terreuse de petites montagnes russes) et des blue penguins (les mêmes qu'à Oamaru).

Non ce ne sont pas ses pattes, ce sont juste des sortes de chaussettes. Ils ne nagent pas assez, donc ils peuvent avoir des problèmes aux pattes.

Les manchots se trouvant ici ont été recueillis parce qu'ils sont handicapés et qu'à l'extérieur leur vie aurait été énormément raccourcie. Dans la visite, avec un petit supplément, on peut les approcher de très très près (maintenant, j'ai la preuve que les blue penguins sont légers car, en me marchant sur le pied, je n'ai rien senti).

Je vous montrerai quelques photos de l'aller et du retour en avion dans le prochain article, mais je me sentais obligé de montrer l'avion que j'ai dû prendre vers Hamilton. C'est un Beech 1900D, un tout petit coucou de 19 places, assez effrayant...

...surtout lorsque le copilote ferme lui-même la porte avec un système relativement peu rassurant (tu remontes les escaliers, tu remontes une grande poignée et, c'est fermé !) ! Au moins, c'est convivial de voir le pilote et son copilote juste devant soi !

Mais pour cette visite de Christchurch, j'ai délibérément sauté un jour. Donc à suivre, le jour manquant avec une surprise !

mercredi 9 juin 2010

La fin des cours (avec un peu de retard...)

Voilà un petit article tout frais, ça faisait longtemps. J'avoue, il n'est pas si frais que ça, il a eu le temps de décongeler depuis le temps : en effet, les cours finissaient vendredi.

Au programme de cette journée de vendredi : du soleil pour faire la sieste en tee-shirt sous un arbre sans feuille, des petits bateaux qui faisaient la course sur un lac, la mécatronique qui touchait à sa fin et les oiseaux qui chantaient un peu.

Cela a été une joie immense d'en finir (presque) définitivement avec la mécatrotro ! Plus besoin de coder en C dans son coin sans que personne ne vienne aider (si l'on néglige les "magnifiques" sourires qu'ils font et les dos qu'ils montrent quand ils te demandent où tu en es de ton projet en mécatrotro et que tu leur expliques que tu ne sais pas comment faire parce que tu n'as jamais appris ce qu'est un pointeur alors que tu en as absolument besoin...). Que du bonheur pendant ces 12 semaines... Menfin, ça, c'est fini. Je peux le jeter aux oubliettes de ma mémoire.

Quoique...

En fait, j'ai toujours mon projet à finir. Le début est charmant : je suis devant un oscilloscope (petit, avec un petit écran) et mon but est de trouver le protocole de fonctionnement des petites voitures sur circuit (pour les enfants). Normalement, je devrais avoir accès à un oscilloscope plus grand, sinon je devrais me contenter des plus ou moins 30 "bits" visibles et improviser... Enfin, merci l'ami internet pour m'éviter de découvrir le protocole à l'aveuglette. Mais il paraît que je dois coder en C (encore) la commande des voitures.... Je trouverai bien un moyen d'obtenir une base de code.

Mais vous devez vous demander ce qu'est cette histoire de bateau. Eh bien, c'est tout bête : des étudiants d'ingénierie doivent soit construire un bateau télécommandé, soit gérer le projet. Pour ce que j'en ai compris (je n'ai vu que de loin les réunions), les premiers sont plus ou moins 10 par équipe et sont plutôt entre la 2ème et 3ème année, les seconds sont un par équipe, et sont en 4ème ou 5ème année (une bonne partie de mes collègues de mécatronique avaient pris ce cours). Ils ont un budget et des contraintes à respecter. Et bien sûr, les bateaux s'affrontent lors d'une compétition sur l'un des lacs de l'université, à côté des cafés.

Le principe est simple : deux courses par équipe, les meilleurs temps courent en quart de finale, puis les meilleurs temps vont en demi-finale, et de même pour la finale. Aux premiers tours, 4 concurrents s'affrontent. La piste est simple : juste deux slaloms et un sprint vers l'arrivée (la bouée jaunâtre à droite de la photo est la bouée bâbord d'arrivée) :

Vous devez vous dire que la taille de la piste est suffisamment faible pour que les courses aillent vite. Eh bien, non... Ok, le gagnant à un record à 58s, mais certaines équipes ont atteint 2 min 30, voire 3 minutes... Petite particularité, chaque équipe doit choisir un pays (sachant qu'il y avait quelques fois 2 équipes du même pays, j'imagine que soit ils ont choisis les mêmes pays, soit plusieurs équipes se sont scindées en 2). Voilà le départ :

Comme vous pouvez le voir, certains sont déguisés à la "mode" du pays (en fait, trois sont déguisés sur cette photo... Un indice, outre les "deux du Qatar", le troisième ''est'' du Luxembourg). Alors ? Petite anecdote, cette course n'a eu que 3 participants : le bateau le plus à droite n'est pas parti !

Alors, mes amis les geeks, vous serez heureux d'apprendre que quoi qu'il se passe, c'est toujours Madagascar qui l'emporte. Et pour finir, malheureusement pas de cocorico, le bateau aux couleurs de la France a fait un score relativement mauvais, en finissant dans les derniers !

Voilà, maintenant, l'Université de Waikato est plus ou moins vide pendant encore quelques jours (hormis la bibliothèque qui doit être bondée) avant les examens. Le mien (la mécatrotro est noté en interne, ce qui me fait dire que si je valide, c'est que le professeur Scott m'a vraiment à la bonne) est le 17. Et après, fin du projet, et enfin, vacances !
 
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