dimanche 21 février 2010

Lost in Auckland

Comme promis, voilà le descriptif de mon arrivée à Auckland (et par là, de mon arrivée en Nouvelle-Zélande).

Donc revenons-en à nos moutons (normal en NZ me direz-vous). Je sors de l'aéroport après le passage des douanes. Chose marrante, ici, vous n'osez pas embêter les douaniers, puisque certains sont maoris, et pourraient être rugbymen : donc, pas envie d'être plaqué...

Après la sortie de l'aéroport, je décide de prendre la navette qui va au centre-ville. Mais là, première surprise : le bus ne s'arrête pas à un endroit précis, mais sur une zone d'environ 25 m de long. Et quand vous êtes une cinquantaine à vouloir prendre le même bus, pour une vingtaine de places, c'est compliqué de ne pas pouvoir prévoir où sera l'entrée dudit bus... Donc forcément, je n'arrive pas à prendre le premier. Je tente le deuxième, 15 min plus tard. Après une bagarre et un écrasement d'un pied avec ma valise (23,6 kg je rappelle...), j'arrive à me frayer un chemin et à prendre une place dans ce satané bus. Il n'y a que 7 arrêts dans Auckland, donc il ne faut pas se manquer.
Avant de monter, j'avais remarqué la présence de deux étudiants français (les cartes internationales d'étudiants, ça aide), mais j'ai évité de leur parler (faut parler anglais, tout ça...). Mais après avoir remarqué que le bus s'arrête à des arrêts hors d'Auckland, mais que l'on ne sait pas où commence réellement Auckland, l'un des étudiants est allé demander au chauffeur... Donc, flemmard, je décide de demander au français. Après avoir un peu discuté, voilà où arrive notre discussion :
Étudiant : "J'ai vu que tu viens de Télécom Bretagne." (toujours les cartes étudiantes) "T'es en quelle année ?"
Moi : "Deuxième"
E : "Alors tu dois connaître Audrey Pedro, Charles Ragois, Benoît You-Lebot."
Comme quoi, le monde est vraiment petit !

Néanmoins, j'arrive à mon arrêt. Et là, plus trop de chemin à parcourir pour atteindre mon hôtel... Mais la ville est très vallonnée... Donc avec mon sac à dos, mon ordinateur portable et ma valise (pour un poids total d'environ 31 kg...), me voilà parti pour gravir les pentes. Après un litre de sueur perdu dans la bataille, j'arrive finalement à l'hôtel.
L'hôtel est pour les "backpackers", ce qui semble être le hobby le plus exercé par les étrangers en NZ. Pas mal vu le prix (68 $ donc à peu près 35€), avec en prime un mini-frigo (et une télé dessus). Après une douche rapide, mais plus que nécessaire (cela faisait près 36h depuis mon départ de France), je décide de sortir affronter l'immense ville. Plus que des mots, des photos (on dirait un slogan pour VSD ou Paris-Match) :



Et oui, ici aussi les gens vont tous au YMCA...




La fameuse tour que vous voyez ici (et que je me suis amusé à photographier de nombreuses fois) est la Sky Tower, haute de 328m. Elle est visitable, je vous en parlerez plus en détails lorsque je retournerai à Auckland.


En cadeau pour Lucie et Jérémie, un défilé d'hindous.

3 commentaires:

  1. C'est joli mais ce que tous le monde attend c'est LA photo avec les mouton dans un paysage verdoyant!

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  2. Sympa les photos, on voit bien que c'est l'été là-bas.
    Le monde est vraiment trop petit, c'est quand même abusé ... Moi notre amie française à Prague connaissait aussi quelqu'un à TB de la promo 2010 que je visualisais bien.

    Et oui, on veut des moutons !! (hein mon Gillou :p)

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  3. Les moutons arrivent, il ne faut pas s'en faire. Juste le temps que je transfère les photos, et que je trouve un logement convenable...

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